Bioshock 2: «Come to Big Daddy!»
Dans Bioshock 2, nous campons un prototype de «Big Daddy», protecteur des Petites SÅ“urs, des enfants génétiquement modifiés et collecteurs d’ADAM, substance permettant de modifier son code génétique. Dans notre scaphandre, nous nous réveillons 10 ans après la première mouture. Les Chosomes, les habitants de la cité, mieux armés et plus organisés, ont évolué. Et une seule chose nous tient à cÅ“ur : retrouver notre Petite SÅ“ur.
Nouvelle façon de jouer
Certes, la découverte de la ville de Rapture n’offre plus la surprise que nous réservait le premier opus de la licence. Les environnements manquent un peu de variété. Cependant, Bioshock 2 regorge d’action. Désormais, plus besoin de changer d’armes pour lancer des plasmides. Nous les déclenchons avec la main gauche tandis que les armes «conventionnelles» se manient de la main droite.
Nous avons à notre disposition la terrible foreuse. Attention cependant, il faudra bien gérer l’essence. Un nouvel outil de piratage (hacking) fait son apparition. Celui-ci, sous forme de minijeux, permet de déjouer les systèmes de sécurité ou encore les nombreuses distributrices de munitions et d’équipement. À des fins de recherche sur les différents monstres, une caméra devient un outil important. Le résultat de nos études dévoilera les points faibles des créatures. Les choix moraux sont importants. Il y a deux «bonnes fins» et deux «mauvaises fins». À vous de voir de quel côté vous pencherez.
Plus difficile!
J’ai l’habitude de jouer au maximum de la difficulté permise dans ce genre de titre. Dans celui-ci, l’agressivité des ennemis est telle que j’ai dû jouer en mode «moyen». J’aime l’histoire, qui pourrait facilement donner naissance à un film. En commençant le jeu, la peur d’une suite bâclée m’habitait. Je vous rassure : ce n’est pas le cas. Gageons que dans Bioshock 3 nous camperons une Petite SÅ“ur. En attendant, gérez bien vos plasmides!