Soutenez

Photos: Un petit pas dans la Voie lactée de Milky Chance

Photo: Josie Desmarais/Métro

Vendredi soir, Montréal assistait au tout premier arrêt de la formation allemande Milky Chance. Et il semblerait qu’il était temps: la foule du Métropolis, gonflée à bloc, diffusait une énergie électrique, du balcon au parterre. Un moment peace and love tantôt lascif, tantôt enlevant, pendant lequel s’est enchaîné une suite de succès au même ADN.


Clemens Rehbein et Philipp Dausch, accompagnés de leur acolyte Antonio Greger, ont mis les pieds sur scène et ont donné le ton avec une ouverture instrumentale. S’en sont suivis les pièces Stunner et Fairytale, la dernière bien applaudie et saluée par la salle. Clemens s’est ensuite adressé à ses fans en mâchouillant un «Hello Canada!». Mais rien n’aurait pu refroidir les spectateurs déjà conquis ondulant aux rythmes groovy, reggae et folk du groupe.

Les moments forts de la soirée sont sans contredis le déchirant solo d’harmonica d’Antonio Greger, exécuté lors de Loveland, et le premier extrait, Stolen dance, interprété avant le rappel, pendant lequel des jeux de lumière nous invitaient au cœur d’un univers enchanté, entre les totems et capteurs de rêve géants.

On aurait aimé des paroles plus articulées, davantage de connexion avec le public et un Clemens à l’air moins blasé (du moins, au début du concert). Le chanteur semblait évoluer dans un monde parallèle où la foule jouait le rôle… de spectateur.

Accueil strident de la foule alors que Milky Chance monte sur scène:
[wpvideo omxdLYYj w=640]

Entre deux chansons:
[wpvideo HmLymxSY w=640]

Articles récents du même sujet

Mon
Métro

Découvrez nos infolettres !

Le meilleur moyen de rester brancher sur les nouvelles de Montréal et votre quartier.