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Célébrer la Journée mondiale de l’oeuf avec une frittata d’aubergine

Aujourd’hui, c’est la Journée mondiale de l’œuf. Voilà l’occasion parfaite pour célébrer cet ingrédient nutritionnel et souligner le travail des producteurs qui fournissent des œufs frais et locaux aux Canadiens. Mettez l’oeuf au menu ce soir en cuisinant cette recette facile de frittata d’aubergine.

Délicieuse frittata d’aubergine

Portions: 6

INGRÉDIENTS

  • 1 aubergine moyenne, coupée en cubes
  • 2 tasses (500 ml) de tomates cerises ou raisins, coupées en 2
  • 1/2 tasse (125 ml) d’olives dénoyautées, coupées en 2
  • 1 petit oignon, coupé grossièrement
  • 2 gousses d’ail, tranchées
  • 3 c. à soupe (45 ml) d’huile d’olive
  • 2 c. à thé (10 ml) de vinaigre de vin rouge
  • 1/2 c. à thé (2,5 ml) d’origan séché
  • 1/2 c. à thé (2,5 ml) de flocons de piments forts
  • 1/8 c. à thé (0,5 ml) de poivre
  • 8 œufs
  • 1/3 tasse (75 ml) de persil frais, déchiqueté
  • 1/4 tasse (60 ml) d’eau

PRÉPARATION

  1. Mélanger l’aubergine, les tomates cerises, les olives, l’oignon, l’ail, l’huile, le vinaigre, l’origan, les flocons de piments forts et le poivre dans un grand bol. Étendre uniformément le mélange sur une grande plaque à cuisson.
  2. Rôtir au four préchauffé à 425 °F (220 °C) de 25 à 30 minutes, ou jusqu’à ce que les légumes soient tendres et légèrement brunis, en remuant à la mi-cuisson. Retirer du four et laisser celui-ci allumé.
  3. Fouetter les œufs, le persil et l’eau. Vaporiser de l’aérosol de cuisson sur une poêle antiadhésive de 10 ou 12 pouces (25 ou 30 centimètres) allant au four.
  4. Chauffer la poêle à une chaleur moyenne, puis y verser le mélange d’œufs. Quand les œufs prennent au pourtour de la poêle, soulever délicatement les parties cuites avec une spatule pour permettre aux œufs crus de couler dessous.
  5. Cuire jusqu’à ce que la partie du dessous soit cuite et que le dessus soit un peu liquide, soit 6 ou 7 minutes.
  6. Retirer la poêle du feu et ajouter le mélange d’aubergine et de tomates réservé sur le dessus de la frittata.
  7. Mettre la poêle au four et cuire environ 10 minutes, ou jusqu’à ce que le mélange d’œufs soit cuit.
  8. Servir avec une salade verte et un bon verre de vin pour fêter la Journée mondiale de l’oeuf comme il se doit!

Recette fournie par les Producteurs d’œufs du Canada du site web lesoeufs.ca


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Tout chaud, tout beau! Les dernières nouveautés alimentaires à découvrir

Chez Métro, on est toujours à l’affût des nouveautés alimentaires afin de vous faire découvrir le meilleur. Voici les produits fraîchement arrivés sur le marché que vous voudrez mettre dans votre assiette!

Du fast-végé

On retrouve de nouvelles gammes québécoises de produits végétaliens sur les tablettes des supermarchés Metro. Faciles à trouver, rapides à préparer et plaisants à déguster!

Végane, mais pas plate!

Créés par Jessie Nadeau et PH Cantin, les plats surgelés végétaliens de Végane, mais pas plate! sont prêts en cinq minutes. En utilisant une technologie d’emballage sous-vide, permettant aux repas d’être congelés tout de suite après leur préparation, la conservation des aliments dure jusqu’à 365 jours. Trois variétés de plats sont proposées: assiette mexicaine, sauté asiatique et bol de nouilles et dumplings. La rédaction a eu un faible pour le sauté asiatique qui était rassasiant et bien relevé. Ces nouveautés alimentaires sauront mettre du piquant dans votre assiette!

7$, chez Metro


Réconfort végétal

Les sauces pour pâtes Mami Vegan sont fabriquées à Acton Vale. Leurs saveurs explosives et leur ressemblance à une sauce à la viande au niveau des textures confondent les sceptiques. Pour l’instant, deux sauces sont offertes en magasin: sauce à spaghetti haché veggie et sauce à spaghetti haché veggie épicé. Bientôt, la nouvelle sauce à saveur Mac’n cheese fera aussi son apparition, c’est à surveiller!

6$, chez Metro


100% érable

C’est parce qu’ils voulaient «sortir l’érable de la cabane» que les cofondateurs de l’entreprise québécoise bretelles, Caroline Bordeleau et Philippe Charest-Baudry, ont créé une nouvelle gamme de produits issus de l’érable. Des nouveautés alimentaires à découvrir ici…

Sirop

Ambré, foncé ou doré. Il est impossible de penser une gamme de produits à base de l’érable sans y mettre la grande vedette: le sirop! Offerts en deux formats, de 473 ml et de 236 ml, les trois sirops proposés sont riches, prononcés et délicats.

6$ et 10$, dans les supermarchés et sur bretelles.ca


Rub magique

Ce mélange d’épices à frotter est composé de sucre d’érable, de sumac, d’un mélange de poivres, de graines de coriandre et de fenouil, de lavande et de sel. Il apporte un équilibre entre les saveurs douces et acidulées. Délicieux pour relever les pièces de viande et les poissons.

9$, dans les supermarchés et sur bretelles.ca


Gelée d’érable et piment d’Alep

Cette gelée d’érable au piment d’Alep est absolument délicieuse avec les bons fromages du Québec ainsi que les terrines bien viandeuses. Elle se compose de quatre ingrédients: sirop d’érable pur, vinaigre de Xérès, piment d’Alep et agar-agar. Essayez la dans un sandwich tristounet, elle fera de votre dîner de télétravailleur un événement gastronomique!

6$, dans les supermarchés et sur bretelles.ca


Beurre d’érable

Autre grand classique de l’érable: le beurre! Fait à 100% de sirop d’érable pur, sa texture dense est extrêmement satisfaisante. Sur des rôties beurrées ou encore sur des crêpes bien chaudes, c’est gourmand à souhait!

8$, dans les supermarchés et sur bretelles.ca


Popcorn caramel, érable et fleur de sel

Les amateurs de la combinaison sucré-salé se régaleront devant leur film de fin de soirée avec ce sac de popcorn. Tous les grains de maïs sont bien enrobés du concentré de caramel et la présence de la fleur de sel apporte un petit goût de revenez-y.

5$, dans les supermarchés et sur bretelles.ca


Sucre d’érable

De plus en plus populaire dans la préparation des desserts et des pâtisseries, le sucre d’érable est fait à 100% de sirop d’érable pur. Un choix santé et délicieux!

10$, dans les supermarchés et sur bretelles.ca


Prêt à savourer!

La célèbre marque Clover Leaf vient de lancer un nouveau produit qui a remporté le Grand Prix DUX 2020 dans la catégorie «Produit facilitateur – Grande entreprise». En effet, ces trois nouveaux Bols Bistro facilitent les choses lorsqu’il faut manger un lunch rapide, santé et savoureux. Les repas de thon prêt-à-manger sont faibles en gras saturés, riches en fibres, très protéinés… Beaucoup de qualités dans un petit bol! Car, en effet, la quantité de 170 g est somme toute assez petite. Les trois nouveautés alimentaires sont délicieuses: la macédoine espagnole, les pâtes méditerranéennes et le riz à la mexicaine contiennent tous du thon, des légumes, des haricots, des pois et des grains entiers. Nourrissants et abordables, les bols s’entreposent aisément dans le garde-manger. Et, en seulement 30 secondes, un succulent diner est sur la table!

4$, dans les supermarchés


Énergie naturelle

Le maté est une boisson énergisante réalisée à base d’une plante originaire de la forêt tropicale d’Amérique du Sud reconnue pour ses nombreuses vertus: le yerba. Mateina est la première entreprise au Canada à fabriquer des produits à base de maté avec des ingrédients 100% naturels, certifiés biologiques, sans agents de conservations et issus d’un commerce équitable. Cette plante se consomme en infusion à partir d’une gourde munie d’une bombilla. Il s’agit de la manière la plus efficace pour en extraire les 24 vitamines essentielles et ainsi ressentir son plein effet. La jeune entreprise québécoise Mateina propose du maté en feuilles et les accessoires pour le préparer de la façon traditionnelle, mais elle offre aussi quatre saveurs d’infusions prêtes-à-boire: pamplemousse goyave, hibiscus et baies, pêche passion ou original au citron. Un breuvage bénéfique à découvrir!

Les boissons et les accessoires sont offerts sur fr.mateina.ca


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Une savoureuse cuisine thaïlandaise arrive dans Hochelag!

La pandémie a fait, et fait encore, beaucoup de dommages aux restaurateurs d’ici. Mais de cette épreuve, surgissent un esprit de communauté et une inventivité admirable de la part des artisans du domaine. Comme plusieurs, les trois copropriétaires de la Brasserie Le Blind Pig, située dans Hochelaga-Maisonneuve, se sont relevé les manches et offrent maintenant aux gens du quartier bien plus que de quoi se désaltérer!

À la suite de l’annonce de la (re)fermeture des bars et des restaurants du gouvernement provincial, Antoine Ormandy, Rémi Dumas et Mathieu Menard, copropriétaires de la Brasserie Le Blind Pig, ont décidé de briser les conventions en transformant le bar en comptoir «pour emporter» de cuisine thaïlandaise: Le Blind Tiger est né!

La Brasserie Le Blind Pig devient le Comptoir Le Blind Tiger pour les quatre prochaines semaines, voire plus selon les annonces du gouvernement.

«Je ne pensais pas, ce matin-là, revenir à la maison, suite à notre rencontre matinale avec mes associés, avec un tout nouveau concept de restaurant livraison et pour emporter! La crise nous aura permis de nous dépasser et d’innover avec une toute nouvelle offre,» rapporte Mathieu Ménard, copropriétaire de la Brasserie Le Blind Pig.

Pourquoi une cuisine thaïlandaise?

«Pour nous, c’était la suite logique des choses. Mon ami, le chef Dominic Chagnon, et moi avons passé des semaines, dans les trois dernières années, en Thaïlande à visiter le pays à la recherche des saveurs authentiques, de la streetfood et de la culture thaïe. Nous avons envie de partager notre passion avec notre clientèle,» affirme Rémi Dumas, autre copropriétaire de la Brasserie Le Blind Pig.

Au menu

Riche en saveurs, le menu propose un choix varié de plats typiques issus de la cuisine thaïlandaise. Le Kaeng Khiao Waan Luuk Chin Plaa, un curry vert à l’aubergine thaïlandaise et aux boulettes de poisson, présente un bel équilibre entre les saveurs relevées du piment et la douceur crémeuse du lait de coco. L’aubergine thaïlandaise est un légume à découvrir; de la taille d’une balle de golf, le délicieux végétal a une texture fondante, mais conserve sa forme dans le curry et sa saveur est douce et légèrement sucrée.

Le plat le plus réussi et le plus addictif du nouveau Comptoir Le Blind Tiger est sans contredit les Gai Thaawt. Ces ailes de poulet ont macéré dans une marinade faite de racine de coriandre avant d’être glacées avec une glace à la lime et à l’ail frit. Les ailes sont généreuses en chair, la panure est fine et pas trop grasse et le goût est absolument divin!

Si vous êtes à la recherche d’une combinaison de fraîcheur, de croquant et de piquant, la Som Tam, une salade de papaye verte servie avec une vinaigrette à la lime et au sucre de canne, procure définitivement une explosion de saveurs et de textures en bouche!

La Neua Naam Tok, une salade d’onglet de bœuf médium-saignant mariné dans un mélange de citronnelle et de soya thaï reposant sur des feuilles de laitue Boston ou la Tom kha, une soupe au lait de coco aromatisée à la lime kéfir, servis avec des champignons King Oyster, du piment et du chou sont quelques autres délicieuses spécialités qu’il faut essayer au nouveau comptoir.


L’ouverture officielle du Comptoir Le Blind Tiger a lieu aujourd’hui!
Situé au 3882 rue Ontario Est, Le Blind Tiger est ouvert de 16 h à 22 h, du jeudi au samedi. La livraison est aussi rendue possible sur Doordash.

28 jours d’appui à nos restaurateurs

Depuis le 1er octobre, Métro Média s’est engagé à aider les restaurants d’ici afin de les soutenir durant ces temps difficiles. Pendant 28 jours, une aide à la promotion de leurs plats à emporter et à livrer leur est offerte. Pour inscrire gratuitement votre entreprise, faites parvenir le nom de votre restaurant, son adresse et son site web à metro@metromedia.ca.

Cliquez ici pour consulter la liste des restaurants déjà inscrits qui proposent des délices « pour emporter ».


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Deux entrepreneures aident les restaurateurs en lançant Weekendeurs

Afin d’aider les restaurateurs dans le contexte économique difficile de la pandémie, deux femmes du Sud-Ouest ont fondé Weekendeurs, une plateforme Web de distribution de plats prêts à cuire. Cette formule permet aux gens à la maison de compléter le repas en quelques étapes seulement.

En mars, Kassandra Brochu et Anne-Marie Giguère ont eu l’idée de rassembler les recettes et préparations de chefs montréalais afin de les aider à passer au travers cette épreuve.

Fortes d’une expérience combinée de plusieurs années dans la restauration, les deux femmes d’affaires du Sud-Ouest de 27 et 30 ans respectivement, ont décidé de donner un coup de pouce à l’industrie.

«On s’est mis à réfléchir à une manière de pouvoir continuer à offrir aux gens des restos, tout en pouvant garder et optimiser leur nourriture. Quand on se fait livrer par un service de livraison plus traditionnel, le plat a perdu de la chaleur», explique Kassandra Brochu.

Avec la popularité grandissante des boîtes-repas à emporter et des recettes prêtes à cuisiner, les deux femmes d’affaires souhaitaient profiter de l’occasion pour proposer une alternative face à d’autres entreprises qui proposent un format similaire. Aussi, Weekendeurs ne nécessite aucun abonnement.

«Avec l’arrivée des menus un peu plus style ‘épicerie’ [dans les] restaurants, ça nous a donné l’idée de créer une plateforme pour regrouper les plats de ce type», affirme-t-elle.

Aider les restaurants

Même si Weekendeurs a été fondée il y a quelques mois à peine, une variété de choix permet aux clients de trouver ce qu’ils souhaitent, que ce soit pour un pique-nique à l’extérieur ou encore une cuisson sur un BBQ.

«On peut commander de plusieurs restaurants à la fois. […] C’est un service qui encourage beaucoup la convivialité. Recevoir chez soi, quand on a le droit, c’est le fun. Ça fait partie de l’esprit de notre service», souligne pour sa part Anne-Marie Giguère, cofondatrice de l’entreprise.

«Il y a des chefs qui ont mis de l’amour là-dedans et qui ont pris du temps à élaborer ces recettes-là.» – Kassandra Brochu, cofondatrice de Weekendeurs.

La création de cette entreprise dans une période difficile peut sembler risquée, pour certains, mais pas pour les cofondatrices.

«Dans ces moments-là, il y a deux manières de voir les choses : être un peu découragées et se demander ce qu’il va se passer ou utiliser cette opportunité-là pour se mettre en action et essayer de se sortir de cette situation», mentionne Mme Brochu.

Il faut dire que le moment était le bon pour se lancer dans cette industrie puisque cette initiative vient en aide aux restaurateurs.

Équitable

Selon les cofondatrices, le but de leur entreprise est également de répondre à une faille dans le système de livraison du Québec. Les grands noms de l’industrie, comme Uber ou DoorDash, demandent environ 30% de marge aux restaurateurs, contrairement à 15% pour Weekendeurs.

«Il n’était pas question pour nous de monter un service qui ressemblait aux autres et qui allait manger la laine sur le dos des restaurateurs», indique Mme Giguère.

Même si les restaurants proposés sur leur plateforme Web sont en partie des entreprises du Sud-Ouest, les cofondatrices de Weekendeurs affirment que d’autres endroits un peu partout à Montréal devraient s’ajouter au cours des prochaines semaines. En début de deuxième vague de COVID-19, les deux entrepreneures affirment qu’elles sont prêtes à répondre à la demande.


Quelques restaurants participants

  • Sumac
  • Mauvais garçons
  • Grumman’78
  • Moleskine
  • Street Monkeys
  • Tendresse
  • Wellington

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Trois recettes faciles à base de riz pour débuter l’automne

En plus d’être abordable, sans gras, sans gluten et riche en potassium, magnésium, vitamine B6 et en fer, le riz est délicieux et polyvalent. Saviez-vous que le riz consommé au Québec provient très souvent des États-Unis? Au fil des ans, ils ont acquis une réputation exceptionnelle comme producteurs de riz de grande qualité. Voici donc trois recettes à mettre au menu cette semaine pour rendre honneur à ce petit grain ancestral.

Poivrons farcis à la mexicaine

Ces poivrons sont farcis d’un généreux mélange à base d’ingrédients savoureux parmi lesquels on retrouve des haricots noirs, du maïs, des piments et du riz des États-Unis. Très faciles à préparer, ils ajoutent une note colorée à tous les repas. Il est possible d’utiliser des poivrons rouges, jaunes ou verts pour mettre un arc-en-ciel de couleurs au menu!

Deux poivrons farcis de riz déposés sur une planche de bois

INGRÉDIENTS

  • 8 gros poivrons
  • 3 tasses (750 ml) de riz des États-Unis, cuit
  • 1 boîte (19 oz/541 ml) de haricots noirs, égouttés et rincés
  • 1 tasse (250 ml) d’oignons hachés
  • 1/3 tasse (75 ml) de poivrons rouges, coupés en dés
  • 1 c. à soupe (15 ml) de jalapeños, finement hachés
  • 1/2 c. à thé (2 ml) de cumin moulu
  • 1/2 c. à thé (2 ml) d’origan séché
  • 1/2 tasse (125 ml) de fromage Monterey Jack, râpé
  • Sel et poivre
  • Garniture: des tranches de jalapeño (facultatif)

PRÉPARATION

  1. Couper le dessus de chaque poivron. Retirer les graines et les membranes, puis les rincer.
  2. Cuire les poivrons 5 minutes dans suffisamment d’eau bouillante pour les couvrir, puis égoutter.
  3. Assaisonner l’intérieur des poivrons avec du sel et du poivre, puis réserver.
  4. Dans un bol, mélanger le riz, les haricots, le maïs, l’oignon, le poivron rouge, les jalapeños, le cumin et l’origan.
  5. À l’aide d’une cuillère, déposer 1 tasse (250 ml) du mélange de riz dans chaque poivron.
  6. Les placer debout dans un plat de cuisson de 9 x 13 po. Couvrir avec une feuille d’aluminium et cuire au four préchauffé à 350°F (180°C) pendant 20 minutes. (Ajouter environ 5 minutes au temps de cuisson si la préparation a été réfrigérée).
  7. Retirer la feuille d’aluminium et saupoudrer les poivrons avec le fromage. Cuire jusqu’à ce que le fromage fonde, soit environ 5 minutes. Garnir avec les tranches de jalapeño.

Salade de chou frisé, riz et courge musquée

Le chou frisé et le riz brun sont un mariage parfait au paradis de la nutrition. Ajoutez-y en remuant des lamelles croustillantes de courge musquée, versez un filet de cette vinaigrette rafraîchissante et obtenez une salade hors du commun idéale pour l’automne.

Salade de légumes et de riz

INGRÉDIENTS

  • 2 tasses (500 ml) de riz brun américain, cuit
  • 1/3 tasse (75 ml) de poivrons, coupés en dés
  • 2 tasses (500 ml) de chou frisé, émincé
  • 1 tasse (250 ml) de courges musquées, taillées en juliennes
  • 1 pomme gala, tranchée finement
  • 1/3 tasse (75 ml) d’amandes grillées, tranchées

Vinaigrette aux fines herbes

  • 3 c. à soupe (45 ml) d’huile d’olive
  • 3 c. à soupe (45 ml) de vinaigre de vin blanc
  • 1 c. à soupe (15 ml) de basilic, romarin et thym frais, haché (chacun)
  • 1 c. à soupe (15 ml) de moutarde de Dijon
  • 1 gousse d’ail, finement hachée
  • ½ c. à thé (2 ml) de flocons de piment de Cayenne
  • ¼ c. à thé (1 ml) de sel kasher et de poivre

PRÉPARATION

  1. Mélanger le riz et les poivrons dans un bol, puis déposer en rangée dans une assiette de service.
  2. Placer le chou frisé, la courge musquée et la pomme sur l’assiette de service aussi en rangées. Garnir le chou frisé d’amandes.
  3. Battre au fouet tous les ingrédients de la vinaigrette et verser sur la salade à l’aide d’une cuillère.

Casserole de saucisses, de rapini et de riz

Une délicieuse combinaison de rapini amer, de riz, d’oignons caramélisés sucrés et de saucisses italiennes fortes. Rapide à préparer, ce plat nécessite surtout des ingrédients de tous les jours. Parfait pour les soirs de semaine, ce repas tout-en-un équilibré plaira aux membres de la famille.

Une poêle en fonte remplir de légumes et de riz déposée sur une planche de bois

INGRÉDIENTS

  • 1 petite botte (environ 6 tasses) de rapini, hachée
  • 1 c. à soupe (15 ml) de beurre
  • 1 c. à soupe (15 ml) d’huile végétale
  • 3 saucisses italiennes, les boyaux retirés
  • 1 oignon espagnol, tranché
  • 3 gousses d’ail, hachées finement
  • ½ c. à thé (2 ml) de flocons de piment fort broyés
  • ½ c. à thé (2 ml) de graines de fenouil
  • ¼ c. à thé (1 ml) de sel et de poivre
  • 2 c. à thé (10 ml) de sucre
  • 1 tasse (250 ml) de tomates en dés, en conserve, égouttées
  • ½ tasse (125 ml) de bouillon de poulet
  • 1 c. à thé (5 ml) de sauce Worcestershire
  • 1 c. à thé (5 ml) de vinaigre balsamique
  • 3 tasses (750 ml) de riz américain blanc ou brun à grains longs, cuit
  • ½ tasse (125 ml) de fromage de chèvre, émietté
  • 2 c. à soupe (30 ml) de persil frais, haché

PRÉPARATION

  1. Porter une grande casserole d’eau salée à ébullition. Ajouter le rapini et cuire pendant trois minutes, ou jusqu’à ce qu’il soit tendre. Égoutter et réserver.
  2. Dans une grande casserole sur feu moyen, ajouter le beurre et l’huile. Émietter la viande de saucisse dans la casserole. Ajouter l’oignon, l’ail, les flocons de piment fort, le fenouil, le sel et le poivre. Couvrir partiellement et laisser cuire, en remuant souvent, de 12 à 14 minutes ou jusqu’à ce que les oignons soient tendres.
  3. Parsemer de sucre et laisser cuire, en remuant, jusqu’à ce que les oignons soient très caramélisés, sans être brûlés.
  4. Ajouter les tomates, le bouillon de poulet, la sauce Worcestershire et le vinaigre. Mélanger en prenant soin de racler le fond pour récupérer les sucs de cuisson. Laisser mijoter, en remuant, jusqu’à ce que le liquide épaississe.
  5. Ajouter le rapini et le riz; remuer jusqu’à ce qu’ils soient bien mélangés. Parsemer de fromage de chèvre et de persil.

Recettes fournies par inforiz.com


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Recette de pommes de terre à la méditerranéenne

Cette recette facile nous rappelle qu’il reste encore de belles soirées d’été pour profiter de la bonne compagnie de ses amis autour de plats de grillades et de légumes savoureux pour les accompagner. Ces pommes de terre embaument les parfums de la Méditerranée et font l’unanimité autour de la table à tous les coups. Bon appétit!

Portions : 4 à 6

INGRÉDIENTS

  • 454 g de pommes de terre grelots, coupées en deux
  • 227 g d’artichauts (en conserve), coupés en petits morceaux
  • 1⁄2 poivron rouge ou jaune, haché
  • 3 tranches de prosciutto, hachées
  • 1⁄4 oignon rouge, ciselé
  • 3 c. à soupe d’huile d’olive

Pour la vinaigrette

  • 2 c. à soupe d’oignon rouge, émincé
  • 2 c. à soupe de jus de citron
  • 1 petite gousse d’ail, hachée
  • 2 c. à soupe de câpres, hachés finement
  • 1⁄2 c. à thé de romarin, haché finement
  • 1 c. à soupe de vinaigre de vin rouge
  • 1⁄2 tasse de fromage feta Tre Stelle, émietté
  • Ciboulette hachée
  • Persil haché

PRÉPARATION

  1. Préchauffer le four à 230 °C (450 °F).
  2. Dans un grand bol, mettre les pommes de terre, les artichauts, le poivron, le prosciutto, l’oignon et l’huile d’olive. Remuer pour bien les mélanger.
  3. Transférer sur une plaque de cuisson recouverte de papier parchemin.
  4. Enfourner pendant 20 minutes ou jusqu’à ce que les pommes de terre soient tendres.
  5. Pendant ce temps, préparer la vinaigrette. Dans le même bol, mélanger l’oignon haché, le jus de citron, l’ail, les câpres, le romarin, le vinaigre et le fromage feta.
  6. Ajouter les pommes de terre rôties chaudes. Saupoudrer de ciboulette et de persil, puis servir.
Recette de Jo-Ann Mahon tirée du livre Tre Stelle: Hommage au fromage, offert gratuitement sur trestelle.ca

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La Semaine du Burger au fromage commence demain!

Du 1er au 7 septembre, la neuvième édition de la Semaine du Burger au fromage se déroulera dans les restaurants du Québec et du Canada. Cette année, les chefs doivent respecter une règle: intégrer du fromage (ou du fauxmage) à leur hamburger.

La Semaine du Burger au fromage est devenue une tradition culinaire annuelle où tous les restaurants du pays sont invités à créer un hamburger unique et délicieux. Cette année, en plus du traditionnel prix du public, Lightspeed et Saputo (partenaires de l’événement) attribueront les prix «Choix Lightspeed» et «Choix Saputo» à leurs hamburgers avec fromage préférés!

Cette année, le fromage vole la vedette pendant la Semaine du Burger!

Au cours des dernières années, La Semaine du Burger s’est engagée à redonner à la communauté, partout au Canada. En 2020, c’est Centraide, un organisme philanthropique qui recueille des dons pour soutenir un vaste réseau d’organismes communautaires venant en aide aux personnes et aux familles vivant dans le besoin, qui bénéficiera de l’appui de La Semaine du Burger au fromage.

Créé en 2013 par les entrepreneurs montréalais Na’eem Adam et Thierry Rassam, La Semaine du Burger est née de leur amour commun pour les hamburgers. Remarquant que leurs concitoyens canadiens partageaient le même intérêt qu’eux pour le célèbre sandwich, le duo a voulu créer une occasion amusante et excitante pour les amateurs de burgers d’interagir entre eux et de soutenir leurs restaurants préférés tout en en offrant à ceux-ci une belle visibilité. Comme l’explique le cofondateur Na’eem Adam dans un communiqué, «La Semaine du Burger était au départ un petit projet local et amusant pour célébrer l’amour des Montréalais pour les hamburgers. Au fil des ans, La Semaine du Burger est devenue un festival national qui supporte les restaurants de partout au pays.»

Pour plus d’informations sur le festival et pour aller voter pour votre burger préféré, rendez-vous sur leburgerweek.com.

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Le Norest: une expérience unique en dix services

Le Norest, c’est le nouveau restaurant de Rémi Lemieux et Justin Petitclerc. Ces deux amis de longue date sont les seuls maîtres à bord; Rémi est chef alors que Justin est mixologue et maître d’hôtel, et ensemble, ils s’occupent d’absolument tout!

Âgés de 26 ans, les deux propriétaires du restaurant situé sur le Plateau-Mont-Royal proposent une expérience gastronomique unique en dix services à 70$ avec la possibilité de prendre l’accord vin et alcool pour 50$ de plus, pourboire inclus. Ce n’est pas la première fois qu’on remarque un restaurant montréalais qui inclut le pourboire dans son prix et, comme c’est le cas pour Le Norest, c’est «pour empêcher les malaises».

Portrait des copropriétaires du restaurant Le Norest Rémi Lemieux et Justin petitclerc

Funky et inventive, la gastronomie du Norest promet une aventure sensorielle incomparable.

On peut aussi se rendre au Norest sans réservation pour profiter du menu «snacks» à déguster au comptoir. Et, à compter de 23 heures, il sera également possible d’y aller pour tirer plaisir du volet mixologie en sirotant un cocktail créé par Justin.

Deux cocktails posés sur un bar

Le Norest est en «soft opening» depuis la semaine passée, et il ouvrira officiellement ses portes le 2 septembre 2020. La salle comprend 26 places assises et accueille des clients du mercredi au samedi. Au moment d’effectuer la réservation, Rémi s’entretient avec le client afin de connaître ses intolérances alimentaires certes, mais surtout pour en savoir un peu plus à propos de son aliment préféré. À partir de la réponse, il créera un plat personnalisé au goût du client lors de la soirée. Cela reflète bien le type d’expérience à laquelle on peut s’attendre en allant souper au Norest: personnalisée, extrêmement conviviale, différente, avant-gardiste, intrigante, unique!

Nord-Est/No Rest

Il est audacieux d’ouvrir un restaurant gastronomique au menu de dégustation fixe de dix services en pleine pandémie, et les copropriétaires en étaient bien conscients lorsqu’est venu le temps de choisir le nom du restaurant.

«Moi, je voulais un nom qui sonne boréal, qui fait Québec et Justin voulait surtout un nom qui nous représentait. On était donc face à un dilemme. Un moment donné, on était ici, tard le soir, on venait de décider que ça allait être juste nous deux, qu’on profiterait du fait qu’on est jeunes et immatures pour travailler fort. Justin a alors mentionné que le nom devait venir du fait qu’on ne dort jamais, pis là, il a dit stop: «no rest!». On est restés là-dessus, et puis après, c’est devenu le Nord et l’Est pour le côté boréal. On trouve vraiment que ça nous ressemble! Moi de mon côté, je voulais aussi un nom court qui ne sonne pas français», raconte Rémi.

Plat de pâtes colorées avec fleur de chou

Parcours de chef

Le chef Rémi Lemieux a découvert sa passion pour la gastronomie très tôt dans la vie. Après un passage écourté à l’ITHQ, il a travaillé trois ans pour Giovanni (Jean-Claude) Apollo à l’adolescence.

«Malgré la controverse autour d’Apollo, j’ai appris beaucoup parce qu’il avait vraiment de bons employés en cuisine. Il faisait venir des Français qui avaient travaillé pour des étoilés Michelin. J’ai donc bien été formé», explique le chef.

C’est ensuite dans les cuisines du Pied de Cochon, aux côtés de Martin Picard, qu’il a continué à développer son talent, et plus particulièrement à la Cabane d’à Côté. Alors âgé de 23 ans, il devient le chef de la Cabane! Alliant sa passion pour la cuisine et celle de l’étranger, Rémi voyage à travers le monde pour apprendre des plus grands. C’est d’ailleurs lors d’un voyage en Italie qu’il eut la chance d’effectuer un stage auprès de Massimo Bottura au restaurant Osteria Francescana, un établissement qui cumule trois étoiles Michelin et remporte, année après année, le titre de meilleur restaurant du monde.

Parcours de mixologue

Justin Petitclerc est avant tout un musicien qui baigne dans le secteur évènementiel, alors on est en droit de se demander comment il a pu devenir mixologue dans son propre restaurant…

Le mixologue Justin Petitclerc préparant un cocktail derrière son bar

«Quand on était adolescents, Rémi travaillait au Pied de Cochon, c’était ses premières saisons, et l’hiver, il travaillait moins, donc il s’était parti quelque chose qui s’appelait Chef à la maison. Il m’avait engagé pour être son maître d’hôtel», relate Justin.

C’est donc aux côtés de son acolyte et par intérêt personnel que Justin a développé un talent dans la création de cocktails. L’aspect nostalgique de sa nature de musicien a d’ailleurs influencé plusieurs de ses cocktails.

«Chaque fois qu’on travaillait ou qu’on faisait de la «prep» pour Chef à la maison, on buvait tout le temps ce qu’on appelle des bières-clamato. J’ai donc développé un cocktail pour rendre honneur à cette époque. On fait nos jus de palourdes et de tomates maison et j’en fais une version glacée que je dépose au centre du verre. Je verse ensuite la version non glacée et par-dessus, je saupoudre un mélange de sel de céleri et de palourdes séchées maison. Et pour être en accord avec les adolescents que nous étions alors, on a décidé de le servir avec la bière la plus cheap qu’on a bue ensemble : de la Black Label», a détaillé M. Petitclerc.

Gastronomie québécoise?

La gastronomie québécoise n’est plus sous le joug de la cuisine maison simple et grasse, loin de là! Et même si National Geographic n’a inséré que des plats tels la poutine, la tourtière et le smoked meat dans son top 10 des plats de la gastronomie québécoise à tester absolument, on trouve maintenant des génies culinaires et une gastronomie raffinée, inventive et complètement éclatée au Québec.

Quant aux plats de Rémi Lemieux, ils sont uniques! Qui aurait pu croire qu’un amuse-bouche de popcorn recouvert de togarashi, d’algues séchées et de beurre de homard serait l’accompagnement parfait au Bloody Caesar nostalgique de Justin? Au Norest, on oscille entre gastronomie recherchée et simplicité, tout en étant funky, et où trônent les produits d’ici.

Une main pressant un quartier de citron au-dessus d'un sac rempli de popcorn

Justin et Rémi se partagent le service: Rémi monte les plats de sa cuisine temporaire située au sous-sol et les présente au client, alors que Justin fait de même pour les accords vins/cidres et cocktails en plus de s’assurer du bon déroulement des services.

«Je trouve que le meilleur dans les biscuits, c’est de manger la pâte pendant que tu les cuisines, alors on la sert directement sur le batteur.» – Chef Rémi Lemieux.

Une palette de batteur sur socle garnie de pâte à biscuit

Combien de temps prévoir?

Les propriétaires conseillent aux clients de libérer un bon quatre heures pour vivre l’expérience. Mais pour eux, plus le client demeure longtemps et profitent de leur visite, plus ils sont contents. Pour votre information, sachez que votre journaliste y est restée six heures – six heures qui sont passées comme un coup de vent. Il faut dire qu’entre une bouchée d’huître emballée dans du radis cru assise sur un gel d’algues, recouverte d’échalotes marinées et accompagnée d’un carré de pain brûlé et de beurre fraîchement baratté du matin, et une autre de tartare de flétan à la lavande, aux fleurs, à la framboise, recouvert d’un hachis de champignons sauvages avec un peu de sauce soya, il est difficile de faire vite. Chaque bouchée est remarquable et c’est un réel plaisir de les savourer pleinement.

Beurre frais dans une assiette

Tout est québécois au restaurant Le Norest: la musique qu’on entend, les alcools qu’on boit et les plats qu’on déguste avec grand plaisir.

Tous les plats principaux servis au Norest seront végétariens tout en étant riches et satisfaisants.

«Les plats les plus rustiques, les plus copieux sont végétariens. Par exemple, la sucrine est farcie avec plein de choses comme de la fleur d’ail fermentée et du fromage fumé. En dessous, il y a des chanterelles poêlées et une sauce aux champignons qu’on a travaillée pour qu’elle aille chercher le côté terreux, viandeux qu’on aime», nous explique le chef.

Un plat de sucrine aux champignons

Est-ce qu’on y retourne?

Absolument! Le Norest représente l’essence même de la locution «expérience gastronomique». Et si le menu dégustation dix services peut intimider par son élitisme habituel, il n’en est rien au Norest. Rémi et Justin vous y accueillent avec le sourire dans un décor tout ce qu’il y a de plus rustique et simple.

Le Norest, au 4671 boulevard Saint-Laurent, à Montréal. Il est possible de réserver son expérience dès maintenant en composant le 514 225-9626.


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Kamúy: le nouveau restaurant caribéen de Paul Toussaint

Situé dans l’ancienne Taverne F dans le Quartier des spectacles, le Kamúy propose la cuisine d’inspiration caribéenne du chef Paul Toussaint depuis le 8 août dernier.

Après avoir passé trois ans aux commandes de la cuisine du restaurant Agrikol, Paul Toussaint a eu le goût de réaliser son nouveau projet: être à la fois chef et propriétaire. Avec l’aide de ses deux sous-chefs, Vincent Bolet et Ana Castillo, le chef d’origine haïtienne présente cette fois-ci une cuisine fusion caribéenne à ses clients. «On réinvente les classiques d’une cuisine fusion, en travaillant d’une manière raffinée, plus gastronomique», explique le chef Toussaint.

À manger?

Des mets frais et colorés qui expriment la belle diversité de saveurs qu’offre la cuisine des Caraïbes. Des plats tels le carpaccio de jicama explosent de couleurs et proposent aux papilles une expérience juteuse, croquante et sucrée.

Quant aux célèbres accras, ils viennent farcis de différents ingrédients, et s’accompagnent bien sûr de la traditionnelle sauce Chien. Les moins habitués de la cuisine des Caraïbes pourront découvrir des plats comme le tamal; une papillote garnie d’un curry de chèvre et d’une semoule de maïs enroulée d’une feuille de bananier et cuite à la vapeur.

Un plat de tamal

Pour les amateurs de saveurs douces, sucrées, mais tout de même audacieuses, les dombrés sont tout indiqués! Ces petits dumplings de patate douce (qui ont une apparence semblable à celle des gnocchis) baignent dans une bisque à la noix de coco et s’entremêlent de morceaux de pieuvre grillée. Un délice!

À boire?

Élaborée par la mixologue Valérie Chagnon, la carte des cocktails vient appuyer la philosophie du chef Toussaint. Principalement réalisées à base de rhum, de mezcal et de fruits exotiques, les boissons sont recherchées et complexes, et elles embaument d’enivrants parfums des îles.

Quant à la carte des vins, elle n’est pas en reste! Audacieuse, voire même un peu «funky», on y retrouve des vins nature de toutes les couleurs et de toutes origines. Une courte sélection de vins doux permet aussi de faire des accords mets/vins intéressants jusqu’au dessert.

À voir?

Le chef Toussaint souhaite qu’à travers Kamúy, la culture des Caraïbes rayonne, en passant par la nourriture, mais aussi par l’art. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’on peut y observer les œuvres de l’artiste Oski (Olivier Vilaire) qui signe l’expérience visuelle du restaurant.

Intérieur du restaurant Kamuy

La conception architecturale quant à elle a été pensée par Sophie Buteau. Au fil du temps, les clients du Kamúy pourront observer sur les murs et dans l’espace, des œuvres du photographe Darwin Deleyres, des sculpteurs Remy-Jean-Eddy (Franco) et Normand Hamel, ainsi que du graphiste Williamson Dulcé.

Pour ce qui est du plaisir des oreilles, il n’a pas été oublié! Chaque semaine, des artistes offriront des performances musicales, créant ainsi une ambiance festive et joyeuse parfaite pour célébrer la beauté des Caraïbes.

Kamúy, au 1485 rue Jeanne-Mance, à côté du Musée d’art contemporain

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