Soutenez

Vitesse et violence: un duo très lucratif pour Grand Theft Auto IV

Michael Brilovich, Metro Chili

Depuis les débuts de la série des Grand Theft Auto (GTA), le studio Rockstar Games sait qu’il a en main un titre qui attirera toujours l’attention à sa sortie, violence gratuite oblige. Grand Theft Auto IV, sur les tablettes aujourd’hui, ne fait pas exception à la règle.

Les analystes prévoient que les ventes de GTA pourraient battre le record de Halo 3 en écoulant six millions de copies la première semaine, et ainsi atteindre des recettes de 400 M$US. Plusieurs boutiques ont ouvert leurs portes hier à minuit ou tôt ce matin pour la sortie du jeu sur Xbox 360 et PlayStation 3.

Le joueur tient le rôle de Nico Bellic, un immigrant originaire de l’Europe de l’Est, venu à la rencontre de son cousin Roman afin de vivre le rêve américain. Rêve américain qui tournera rapidement au cauchemar s’il ne prend pas soin de s’armer et de se battre pour prendre sa place à Liberty City. Le personnage  se dévoilera peu à peu, montrant un dur passé qui se révélera à travers des cinématiques bourrées d’action et de violence typiques à GTA.

Liberty City est construite de façon à rappeler New York et ses différents quartiers. Les immeubles sont majestueux et la lumière joue un rôle majeur dans les environnements contrastés des différents quartiers. La ville permet d’apprécier la qualité de la définition offerte, avec des décors léchés jusqu’aux moindres détails et les millions de personnes qui y déambulent. Les piétons répliqueront dorénavant aux coups du joueur.

Les adeptes des versions précédentes ne seront pas déboussolées. La conduite est fluide et intuitive dans cette ville où l’automobile est le meilleur moyen de déplacement. En effet, les avions ne figurent plus parmi les moyens de transport disponibles, contrairement au précédent GTA San Andreas.

Articles récents du même sujet

Mon
Métro

Découvrez nos infolettres !

Le meilleur moyen de rester brancher sur les nouvelles de Montréal et votre quartier.