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Les Penguins disposent des Predators 4-1

PITTSBURGH, PA - MAY 31: Jake Guentzel #59 of the Pittsburgh Penguins celebrates with teammates on the bench after scoring a goal during the first period in Game Two of the 2017 NHL Stanley Cup Final against the Nashville Predators at PPG Paints Arena on May 31, 2017 in Pittsburgh, Pennsylvania. (Photo by Kirk Irwin/Getty Images) Photo: Getty Images
La Presse canadienne - La Presse Canadienne

PITTSBURGH — Jake Guentzel a inscrit deux buts et les Penguins de Pittsburgh ont défait les Predators de Nashville 4-1, mercredi soir.

Les champions en titre de la Coupe Stanley ont ainsi pris les devants 2-0 dans la série finale de la Coupe Stanley.

Les Penguins sont à mi-chemin de réussir à rester champions, ce qui n’a pas été fait depuis 1998 (les Red Wings de Detroit).

«C’est fou, a dit Guentzel, un Américain de 22 ans. Je ne trouve pas vraiment les mots pour décrire la sensation. Mais nous savons qu’il nous manque deux victoires et qu’elles vont être dures à obtenir.»

Guentzel, Scott Wilson et Evgeni Malkin ont touché la cible à 3:18 d’intervalle en début de troisième période, brisant l’égalité de 1-1.

Cette séquence étourdissante a valu la sortie à Pekka Rinne, battu quatre fois en 25 tirs. Il a été défait à ses cinq matches en carrière à Pittsburgh.

Juuse Saros a repoussé deux rondelles par la suite.

Pontus Aberg a réussi le but des Predators en milieu de premier tiers, mais Guentzel a nivelé le score moins de quatre minutes plus tard.

Matt Murray a fait 37 arrêts, dont 17 au premier engagement.

Il y a eu 11 avantages numériques, mais personne n’a fait mouche dans ce contexte. Les Penguins ont bénéficié de sept supériorités mais au fil des séries, les Predators ont été excellents à court d’un homme.

La série se poursuit au Tennessee samedi et lundi.

Guentzel en était à son cinquième but déterminant des séries, un record pour une recrue. Celui de mercredi est venu d’un rebond, 10 secondes après la mise au jeu initiale du dernier vingt. Et le club local a rapidement creusé l’écart.

«Quand nous marquons, nous ne voulons pas nous arrêter là, a dit Malkin. Nous en voulons plus. Notre marque de commerce est de continuer à attaquer.»

«Nous avons fait de bonnes choses, mais un court laps de temps leur a suffi pour prendre le contrôle», a dit l’entraîneur des Predators, Peter Laviolette.

Le but d’Aberg a été le fruit d’une brillante manoeuvre en solo. Il a chargé au filet et a combiné dextérité et patience pour déjouer Murray.

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