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Un possible sabotage à la base d’un incendie pendant le G7

Police speak to anti-G7 protesters in Beauport, Que. on Friday, June 8, 2018. THE CANADIAN PRESS/Paul Chiasson Photo: Paul Chiasson/La Presse canadienne

QUÉBEC — L’incendie d’un poteau d’Hydro-Québec situé dans l’est de Québec lors du Sommet du G7, en juin dernier, fait l’objet d’une enquête criminelle du Service de police de la Ville de Québec (SPVQ).

L’acte de sabotage présumé, qui a perturbé les communications sans fil pendant le sommet, s’est produit au matin du 9 juin sur le boulevard Sainte-Anne, dans l’est de Québec.

Après avoir éteint le feu, les pompiers du Service de protection contre l’incendie (SPCI) ont transmis le dossier au Commissariat aux incendies de Québec qui a déterminé qu’une action humaine en avait probablement été la cause. L’enquête a donc été transmise au module des crimes majeurs du SPVQ.

La porte-parole de la police, la constable Cyndi Paré, signale qu’il n’est pas encore possible de relier assurément l’incendie au sommet du G7 qui a réuni à La Malbaie les chefs de gouvernement des sept pays les plus industrialisés. Une recherche de suspects est en cours.

L’agente Paré a ajouté que le sinistre n’avait pas nui aux communications des membres des forces de l’ordre, très nombreux dans la région lors du sommet. Cependant, des employés de ministères et organismes ont affirmé que leurs communications avaient été perturbées.

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