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Zone de confort

La critique a suivi Kevin Parent dans sa nouvelle voie, celle de la chanson en anglais, mais le public, un peu moins. À la défense du Gaspésien, il faut dire que les radios montréalaises lui préfèrent des artistes internationaux tels que Bon Jovi et Madonna. Résultat : on entend peu Kevin Parent. Qu’à cela ne tienne, le chanteur est à l’aise dans la langue de Shakespeare. «Quand je chante en anglais, je suis dans ma zone de confort. Je suis bien dans ma peau. En français, je me compare trop. J’écoute Daniel Bélanger et je me dis que je ne peux pas aller sur ce terrain-là. Ou bien j’écoute Jean Leloup. Je ne peux pas accoter ça», a-t-il déclaré. 

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