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Littérature: on craque pour «Femme forêt» d’Anaïs Barbeau-Lavalette

Anaïs Barbeau-Lavalette Photo: Josie Desmarais/Métro

Dans le récit d’autofiction Femme forêt, l’autrice et réalisatrice Anaïs Barbeau-Lavalette (La femme qui fuit, La déesse des mouches à feu) décrit la «brutalité grandiose de la vie» avec une plume sensorielle, poétique et enivrante.

Dans le chaos de la pandémie, l’artiste a trouvé refuge avec sa famille à la Maison bleue, dans une vallée où l’infiniment petit devient infiniment grand.

En plein isolement, elle trouve un sens à ce qui l’habite et à ce qui l’entoure en magnifiant les rituels du quotidien et en puisant dans ses racines. En résulte une magnifique ode à la vie plus grande que nature.

Je sculpte du bonheur à la hache; c’est actuellement l’unique pouvoir qu’il me reste et je m’accroche à lui pour ne pas tomber.

Extrait de Femme forêt

Femme forêt est publié aux éditions Marchand de feuille.

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