Soutenez

Florence + The Machine à Osheaga 2015

Photo: Josie Desmarais/Métro

Probablement l’un des plus attendus de la 10e édition du festival Osheaga, le spectacle de Florence + The Machine a dépassé les attentes et s’est même avéré être une performance exceptionnelle.

Alors que la foule réclamait «Florence, Florence, Florence», le show a été lancé de manière soudaine par une série de feux d’artifice tirés au-dessus de la scène, prenant la foule par surprise. Et puis, tout de suite après, le calme. Et là, tel un ange, Florence Welch est apparue, pieds nus et tout de blanc vêtue, en chantant What The Water Gave Me.

Fidèle à sa réputation, cette véritable bête de scène a rapidement déployé sa bonne humeur, sa sensualité et, surtout, son énergie contagieuse, transportant la foule dans son univers indie pop/rock des plus singuliers. Tambourin à la main, la belle rouquine n’a pas cessé de tournoyer, de virevolter, de danser, de sauter et de courir d’un bout à l’autre de la scène, chantant ses succès repris en chœur par des milliers de voix.

Après avoir dit au public qu’«après quatre mois de tournée, [elle était] heureuse d’être ici et qu’[elle se sentait] comme à la maison», elle a dédié à la foule How Big, How Blue, How Beautiful, la chanson titre de son dernier album.

Durant plus d’une heure et demie, Florence + The Machine a enchaîné les pièces de ses précédents albums, dont Spectrum, Drumming Song ou encore Shake It Out, ainsi que des titres plus récents, comme What Kind Of Man et la fabuleuse Ship to Wreck.

Du devant de la scène jusqu’à la petite butte qui surplombe le site, les festivaliers, presque envoûtés, ont dansé, crié de joie et tapé des mains jusqu’à Dog Days Are Over, dernière chanson de ce spectacle époustouflant. Une première soirée (sans pluie) qui place la barre très haut!

Articles récents du même sujet

Mon
Métro

Découvrez nos infolettres !

Le meilleur moyen de rester brancher sur les nouvelles de Montréal et votre quartier.