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Boîte solidaire : les marques locales se serrent les coudes

Plusieurs marques locales s'unissent pour proposer la Boîte solidaire
Photo: Boîte solidaire / Gracieuseté

Solidaires dans la crise, sept marques locales se sont unies pour vendre ensemble leurs produits dans une boîte à commander en ligne. La deuxième édition de cette Boîte solidaire sera disponible en livraison dès demain.

En avril, le torréfacteur Café Pista situé dans Rosemont-La Petite-Patrie s’allie avec la marque de soins de beauté pour hommes Groom pour lancer la première Boîte solidaire. Leur but : vendre dans une même boîte les produits de plusieurs producteurs ou entrepreneurs locaux.

«On allait chacun lancer un nouveau produit qui devait être vendu chez les commerçants, mais tout a fermé à ce moment-là. Donc au début c’était aussi une manière de faire face à la crise et de vendre ces nouveaux produits», explique Maxime Richard, propriétaire de Café Pista.

Pour s’adapter au contexte, ils décident de vendre ces produits au prix du gros et embarquent d’autres entrepreneurs dans l’aventure. La première Boîte rencontre alors beaucoup de succès auprès des clients avec plus de 500 commandes.

Plus avantageuse pour les clients, cette formule est aussi moins coûteuse pour les marques puisque la livraison est centralisée.

Partager sa visibilité

Les marques regroupées dans cette deuxième boîte pourront aussi partager leurs clientèles. Les lecteurs du magazine culinaire Caribou pourront par exemple découvrir les produits de la marque Gourmet sauvage.

«Vendre un lot de produits varié, c’est aussi plus attractif et ça évite de faire plusieurs commandes et de recevoir plusieurs livraisons», souligne M. Richard.

En plus du café et des produits de soin, la de ce mois-ci boîte contiendra également un masque réutilisable fabriqué par Le Cartel Clothing, du sirop des Charlatans et une sauce piquante de Mark’s.

«On a choisi en priorité des entreprises qui ont connu un impact négatif de la COVID-19. Par exemple des entreprises qui ont dû mettre à pied leurs employés à cause de la crise, précise M. Richard. C’est une manière de s’entraider.»

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