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5 nouvelles qui ont retenu l’attention à Anjou et MHM en 2022

Un militant de Mobilisation 6600 Parc-Nature HMH avait couru nu sur le terrain de Ray-Mont Logistiques. Photo: Capture d'écran, Twitter.

À l’approche de la fin d’année, voici cinq nouvelles qui ont marqué l’actualité des arrondissements d’Anjou et de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve en 2022.

1- Les travaux du tunnel

Pont-tunnel Loui-Hippolyte-La Fontaine. Photo: Clément Bolano, Métro

Aucun montréalais n’a pu échapper à cette nouvelle: la fermeture de la moitié des voies du pont-tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine pour les trois prochaines années. Cette fermeture, qui s’inscrit dans le chantier majeur de réfection du tunnel, a beaucoup affecté la circulation (et l’humeur des automobilistes) et continuera de le faire pour un bout de temps.

2- Le REM de l’Est

Le REM de l’Est, un projet qui suscite les passions. Photo: Gracieuseté, REM, JF-Savaria

Mais quand est-ce que l’on pourra enfin utiliser le REM de l’Est? Sa mise en place est sans doute le sujet qui est revenu le plus souvent dans l’actualité de l’arrondissement de MHM en 2022. Aérien ou sous terrain, ce qui est sûr, c’est qu’il fait débat.

3- Le projet de Ray-Mont Logistiques

Le groupe citoyen Mobilisation 6600 manifestait contre le projet de Ray-Mont Logistiques il y a quelques mois. Photo: François Lemieux, Métro

Le projet de transbordement de conteneurs de l’entreprise Ray-Mont Logistiques a continué de faire polémique dans Mercier-Hochelaga-Maisonneuve et suscite toujours une vive opposition. Beaucoup d’actions publiques ont eu lieu contre le projet, comme l’acte engagé de Mobilisation 6600 Parc-Nature MHM où plusieurs militants ont couru nus sur le terrain de l’entreprise pour dénoncer le projet.

4- La protection du boisé Steinberg

Des manifestants étaient présents au boisé Steinberg à 5h du matin le 15 décembre pour installer des banderoles en décembre. Photo: David Beauchamp, Métro

La part de l’investissement total de 50 M$ qui revient à la Ville de Montréal s’élève à 27 M$ et comporte le territoire du boisé, évalué à 7 M$. Cependant, des manifestations ont toujours lieu pour dénoncer les constructions qui se feront sur une des portions du terrain.

5- Le logo de la caserne 48 retiré

L’ancien logo de la caserne 48. Photo: Jason Paré, Métro

Dans le quartier d’Hochelaga, le logo de la caserne 48 à l’effigie d’une personne issue des Premières Nations a été retiré en début d’année. Accusée de faire de l’appropriation culturelle, la caserne a dû retirer le logo sous la pression du Service de sécurité incendie de Montréal (SIM).

Avec la collaboration d’Alexis Drapeau-Bordage.

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