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Greenpeace: Nintendo se maintient au dernier rang

Nintendo se classe encore au dernier rang
des entreprises technologiques en matière de politiques
environnementales, selon Greenpeace.

Dans son nouveau Guide pour une hi-tech responsable,
qui est publié quatre fois par année, Greenpeace analyse les politiques
environnementales de 18 entreprises technologiques, notamment en
matière d’élimination des substances chimiques dangereuses et de
recyclage. Le guide en est à sa huitième édition.

Selon Greenpeace, Nintendo mérite une note d’un sur dix pour « ses politiques environnementales inexistantes ».

La firme japonaise a cependant indiqué qu’elle refuse de participer
à ce classement et qu’elle n’a fourni aucune donnée sur ses produits à
Greenpeace, d’où ses médiocres résultats.

Greenpeace a de son côté souligné que Nintendo ne veut pas discuter
de ses politiques environnementales et que ses bénévoles ont donc
colligé les informations qu’ils pouvaient sur le site Internet du
fabricant japonais.

Microsoft est arrivé en avant-dernière position du classement de
Greenpeace. Un porte-parole a déclaré aux médias que les politiques
environnementales de l’entreprise sont nombreuses, mais qu’il y a
toujours place à les améliorer.

À la tête du classement se trouvent Sony et Sony Ericsson, qui sont
les seules entreprises à obtenir un pointage supérieur à cinq sur dix
maintenant que Greenpeace a resserré ses critères d’évaluation pour
inclure les enjeux climatiques.

Le rapport, bien que contesté par les entreprises, les force
généralement à améliorer leurs politiques environnementales. Apple, qui
se classait souvent en dernière position, a depuis mis en place
plusieurs mesures, ce qui lui permet maintenant de se hisser en onzième
position du classement.

Pour lire le rapport, cliquez ici.

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